Avertissement : cet avis strictement personnel ne correspondra pas forcément au vôtre…
Avez-vous déjà lu Marie Laurent ?
Si vous répondez par la négative, c’est une erreur à laquelle il vous faut impérativement remédier.
J’ai découvert cet auteur grâce à l’abonnement (auourd’hui arrêté) des éditions Laska. Pensez-vous, environ fr. 15.- pour télécharger tout le catalogue, il ne fallait pas s’en priver !
J’ai commencé par « Sandra et le prince aux petits pois » qui m’a fait passer un agréable moment.
Description de l’éditeur :
Sandra est femme au foyer et mère de trois enfants. Un jour, alors qu’elle fait ses courses, un inconnu heurte son caddie, ce qui lui coûte un sac de petits pois. Le coupable entend bien se racheter et lui laisse sa carte, qui l’identifie comme… le « prince Massimo Di Lupo » !
Quelque temps plus tard, le séduisant Italien la rappelle pour lui demander un service : jouer sa fiancée devant ses parents. Sandra ne résiste pas longtemps à la perspective d’un weekend sur la Côte d’Azur… Mais le célibat d’un tel homme ne cache-t-il pas autre chose ? Et Sandra ne risque-t-elle pas son cœur dans ce rôle de l’amoureuse du prince ?
Ce qui m’a particulièrement plu : les personnages tangibles, l’humour, la romance, le happy end.
Ce que j’ai moins aimé, ce sont les explications de la fin, autour du manège. Elles auraient mérité d’être étendues sur un chapitre (ou plus).
J’ai continué avec « Le diable se chausse en Kéram »
À Romans, ancienne capitale de la chaussure aujourd’hui dépassée par la mondialisation, la vie est plutôt morose. C’est du moins le cas pour Chloé, qui a perdu son poste de styliste après le rachat de la prestigieuse marque de luxe Kéram. Comme si cela ne suffisait pas, elle a dû rappliquer chez sa mère, et son petit ami est plus pataud qu’attentionné !
Sa vie bascule le jour où, au moment de fermer le magasin de chaussures qui l’emploie comme vendeuse, elle tombe sur un beau brun, élégant, raffiné et séduisant en diable. Le seul hic ? Il veut essayer des sandales de femme… Entre dérision et fascination, Chloé ne sait que penser. De toute façon, elle n’en a guère le temps, car un bonheur n’arrive jamais seul : un PDG parisien, Eric Legal, a décidé de reprendre les rênes de Kéram, et il embauche…
Les héros masculins chez Marie Laurent ont un aspect décalé plaisant et surprenant. J’ai bien ri en accompagnant Chloé et Eric.
Quant aux femmes, dans les deux histoires, elles abandonnent des hommes derrière elles. Compréhensible, sans doute, mais légèrement cruel.
Bilan final : si vous aimez les romances qui sortent de l’ordinaire, fortement teintées d’humour, lisez Marie Laurent. Moi, je continuerai à déguster sa plume vive et drôle.
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